Tournée allemande, 20 novembre-2 décembre 2012

(Mozart - La flûte enchantée, Beethoven - Concerto pour piano n° 5, Bernstein - West Side Story, Ravel - Boléro)

Recklinghäuser zeitung (Essen)

À propos du Boléro de Ravel : « Grâce à sa maîtrise parfaite du crescendo, l’orchestre nous captive pendant toute la durée du boléro. »

West Deutsche Zeitung (Düsseldorf)

« L’orchestre philharmonique bruxellois sous la direction du chef d'orchestre Michel Tabachnik a accompagné le pianiste avec puissance et assurance. Il en naît un dialogue visuel plus intense. »
« Les cordes sont tendres, presque onctueuses, souples. Elles flattent particulièrement l’oreille lorsqu’elles exécutent avec autant d’émotion la danse symphonique de West Side Story de Leonard Bernstein. [...] L’orchestre peut également faire montre d’une interprétation saisissante de vigueur. Tabachnik se révèle comme un maître de cérémonie comme il en existe peu. »

Rheinische Post (Düsseldorf)

« À l’euphorie du jazz succèdent 20 turbulentes minutes du singspiel Roméo et Juliette de Bernstein, un pur plaisir. Depuis quatre ans, l’orchestre semble vivre une véritable histoire d’amour sous la direction de Tabachnik. Un échange grandiose de tonalités et de rythmes. »

Mannheimer Morgen (Mannheim)

« Des impulsions lyriques envoûtantes accompagnent ce voyage vers les lisières d’effets pleinement calculés. Virtuose, l’interprétation de l’orchestre emprunte à toutes les techniques de la musique savante et populaire pour créer une énergie incroyable, un cosmos organisé »

Rheinische Post (Mannheim), 24 novembre

« Le Brussels Philharmonic, sous la direction de Michel Tabachnik et accompagné par le soliste Herbert Schuch, s’est révélé magistral dans le Concerto pour piano n°5 de Beethoven lors du concert Pro Arte de Mannheim. Le Rosengarten a été le théâtre d’une formidable ovation. »

« Le Brussels Philharmonic nous a offert un jeu des plus audacieux. Son chef d’orchestre, Michel Tabachnik, un tempérament de feu, l’encourage d’ailleurs sans relâche à produire une musique passionnée et impétueuse. [...] Mention particulière au jeu précis des instruments à vents, avec un corniste solo brillant. »

Donaukurier (Ingolstadt)

« Un petit miracle. La façon dont Tabachnik introduit le premier accord en fa mineur fait immédiatement tendre l’oreille : une sonorité chaude et de plus en plus lumineuse semble émaner d’une profonde obscurité intérieure. Elle rappelle quelque peu la sonorité orchestrale de la Renaissance allemande, le légendaire chef d’orchestre du philharmonique de Berlin pendant la Seconde Guerre mondiale, Wilhelm Furtwängler. »

Stuttgarter Zeitung (Stuttgart)

« Une interprétation pleine de swing : avec les danses symphoniques du West Side Story de Bernstein, Tabachnik a emmené le Brussels Philharmonic dans ses derniers retranchements. Cette énergie était encore quelque peu présente dans le Boléro de Ravel, de sorte que la phase dynamique de la composition a été atteinte un rien trop tôt. Ce Boléro s’est malgré tout révélé captivant, de la première à la dernière mesure. »

Stuttgarter Nachrichten (Stuttgart)

« Concentré, mais détendu, Tabachnik dépoussière allègrement les partitions, élimine toute routine et pare les œuvres de couleurs orchestrales éclatantes. »

Main Spitze (Wiesbaden)

« Le Brussels Philharmonic a joué l’ouverture de « La flûte enchantée » de Mozart avec authenticité, mais sans se soucier des pratiques historiques en matière d’exécution. Dans les danses symphoniques de « West Side Story » de Leonard Bernstein, les atouts de l’orchestre ont été parfaitement mis en valeur : l’énergie, le rythme précis et incroyablement décontracté, mais aussi la modernité éblouissante de la grande ville… tous ces éléments de la comédie musicale de Bernstein sont transmis avec une puissance évocatrice fascinante. Il est tout aussi réjouissant de voir ensuite Tabachnik refuser le « concours » orchestral de qui peut jouer, dans le « Boléro » de Ravel, l’introduction la plus inaudible et le final le plus éclatant ! Les proportions dynamiques ont assurément été conservées, mais l’accent était avant tout placé - avant l’effet de détail – sur l’attrait, le développement, mais aussi les excellents solos des instruments à vent de ce crescendo d’un quart d’heure, que suivait comme bis unique la cinquième danse hongroise de Johannes Brahms. »