Un oiseau de feu enchanteur

(Schönberg, Chopin, Stravinski)

Michel Tabachnik connaît son "Oiseau de Feu" comme s’il l’avait écrit, il dirigeait évidemment de mémoire, tenant chaque son, chaque entrée, chaque musicien au bout de son regard et de ses mains. Et ce fut soudain l’enchantement, l’esprit de fantaisie et de poésie, la tension et le mystère. Découvrir une œuvre comme on la rêve, ça a aussi son charme. (Martine D. Mergeay, La Libre Belgique, 8 avril 2013)