Operwelt, Gerhard Persché
Das Stück ist unzweifelhaft ein Gewinn für die Opernlandschaft.
Resmusica.com, Michèle Tosi
Tabachnik fait converger toutes les strates sonores de l’opéra en un grand mélange jubilatoire.
0n se laisse emporter par le flux dramaturgique.
Orpheus, Robert Quitta
"Benjamin, dernière nuit", ist wahrlich ein Werk für die Opernbühnen der Welt.
Diapason, Emmanuel Dupuy
Époustouflants tableaux polyphoniques.
Une heure et demie à peine dont la puissance suggestive ne peut laisser indifférent.
Der Standard, Jörn Florian Fuchs
Die Musik hängt eng am Text, sie ist meist überdeutlich, vorwärtsdrängend.
Es gibt scharfe Akzente, enge Klanggeflechte.
Frankfurter Rundschau, Hans-Jürgen Linke
Tabachniks Musik produziert dazu eine Art filmischer Begleitmusik mit intensiver Wirksamkeit.
Forumopera.com, Martine D. Mergeay
La musique de Michel Tabachnik est dense, plus flatteuse pour l’orchestre, toujours luxuriant et expressif.
La scène finale est d’une incroyable émotion.
Frankfurter Rundschau, Hans-Jürgen Linke
Es ist eher ein vielschichtiges Gesamtkunstwerk geworden: Michel Tabachnik hat Debrays Libretto, stilistisch polymorph und sehr präzise vertont, so dass, wie er selbst sagt, "die Musik am Text klebt".
Tabachniks Musik produziert dazu eine Art filmischer Begleitmusik mit intensiver Wirksamkeit.
Bachtrack.com, Camille Grimaud
Une musique enlevée, kaléidoscopique et accordant une grande place aux superpositions.
Le chœur d'hommes, sublime, nous emporte dans un tourbillon mystique
Tabachnik traite les voix comme il le fait d'un instrument. Les ambitus sont exploités au maximum et les lignes vocales font partie intégrante de l'instrumentation.
Un opéra d'un genre nouveau.
Concertclassique.com, Jean-Charles Hoffelé
Tabachnik compose un opéra torrentiel : continuum d’orchestre implacable, écriture vocale ardue, univers sonore implosé.
Die Presse, Robert Quitta
Michel Tabachniks Komposition wurde vorgeworfen, dass sie inhomogen sei, illustrativ, dass sie an Filmmusik erinnere.
Heteroclite.org, Yannick Mur
Eclairs et scansions des cuivres et des percussions reviennent souvent décrire cette vie de conflits et de déchirures, jusqu’à la surenchère paroxystique de la scène de Berlin avec Brecht, très réussie.
La lettre du musicien, Philippe Carbonnel
La musique de Michel Tabachnik est bigarrée, tour à tour populaire ou contemporaine suivant le contexte.
Les Trois coups, Michel Dieuaide
Partition savante et complexe, énergique et passionnée.
Il giornale della musica, Mauro Mariani
La sua musica è atonale ma ingloba anche la tonalità e cita compositori del passato, canzoni da cabaret, antichi canti religiosi ebraici, marce militari.